Coalition pour Mutabar Tadjibayeva: Jalousie, cyberbullying, corrruption, blanchiment d’argent…

L’HISTOIRE DE MUTABAR TADJIBAYEVA

Mutabar Tadjibayeva est une journaliste indépendante, écrivaine, militante des droits de l’homme, fondatrice et responsable de l’Association Internationale des Droits de l’homme «Club des Cœurs Ardents».

Elle est l’auteure du roman-chronique «La Prisonnière de l’Île de la Torture» qui raconte la violence et les tortures en Ouzbékistan. Elle est l’auteure des brochures «Mémorial», «Soyez vigilant!» Son récit policier «La femme à la tête d’or» est saisi lors de l’arrestation de Mutabar Tadjibaeva et détruit considéré comme une preuve matérielle.

Le 17 janvier 2000, lors de l’assemblée des citoyens «Zuhro» (à Margilan), Tadjibayeva est élue secrétaire de la première organisation politique PDPU (Parti Démocratique Populaire d’Ouzbékistan).

Devenue membre du parti, Tadjibayeva a initié la création d’une filiale de PDPU dans sa mahallah (son quartier) «Zuhro».

Cinq femmes et mères ont créé le «Club des Cœur Ardents» pour lutter contre le trafic de drogues et la criminalité, en choisissant comme devise «Nous lutterons contre tout le mal sévissant dans notre société – NOUS SOMMES AUX AGUETS!» Notons que les tours d’immeubles du mahallah «Zuhro» étaient un des lieux les plus dangereux du pays en termes de criminalité et de narcotrafic.

Créée pour agir contre le trafic de drogues, pour lutter contre la criminalité, l’organisation de défense des droits de l’homme «Club des Cœurs Ardents» mène ses activités selon sa devise «Nous lutterons contre tout le mal sévissant dans notre société – NOUS SOMMES AUX AGUETS!»

Malgré le danger que cela représente pour sa vie, Mutabar a toujours critiqué ouvertement le régime dictatorial en Ouzbékistan et lutté pour les droits de l’homme.

Elle a été arrêtée le 7 octobre 2005 la veille de son départ pour une conférence internationale de droits de l’homme à Dublin, pour avoir critiqué officiellement le gouvernement ouzbèk qui avait violenté les participants d’une manifestation pacifique à Andidjan. Elle a été inculpée de dix-huit articles du Code Criminel d’Ouzbékistan, et le Tribunal l’a reconnue de treize chefs d’accusation en la condamnant à huit ans en prison.

Durant le procès de Mutabar Tadjibayeva, le célèbre militant pour les droits de l’homme Talib Yakoubov avait écrit:

«Il est impossible de citer tous les articles du Code Criminel de la République d’Ouzbékistan pour lesquels elle est inculpée : ils sont au nombre immense de 18. Il me semble que c’est un cas sans précédent, non seulement dans l’histoire de l’Ouzbékistan indépendant mais dans l’histoire de la justice ouzbèk en général, incluant la période soviétique. En tout cas, aucun des spécialistes ne peut se rappeler d’un cas similaire.

Si cela est arrivé, c’est que

– soit, M. Tadjibayeva a tellement causé d’ennui au gouvernement qu’il a décidé de jouer quitte ou double, comme on dit «ainsi soit-il!»;

– soit, ils craignent quelque chose de considérable;

– soit M. Tadjibayeva occupe la seconde place après Oussama Ben Laden et qu’elle doit être jugée non seulement par le bon tribunal ouzbèk, mais aussi par le tribunal pénal international.

Le cher lecteur a probablement noté l’ironie de notre part concernant le troisième cas. M. Tadjibayeva n’est pas une terroriste mais une des femmes ouzbèks les plus courageuses (peut-être la plus courageuse) qui lutte avec une rare bravoure contre la terreur gouvernementale en Ouzbékistan. Parlons des deux premiers cas, car ils contiennent tout le «malheur» de M. Tadjibayeva…»

En République d’Ouzbékistan, Madame Tadjibayeva a été victime de tortures et d’autres formes de violences durant sa détention pour une mise en examen fabriquée de toutes pièces.

Par la décision du 1er octobre 2015 du Comité des droits de l’homme de l’ONU, chargé de la surveillance du respect des droits de l’homme par les gouvernements du monde, le gouvernement ouzbèk est reconnu coupable des tortures et de la maltraitance à l’égard de Mutabar Tadjibayeva.

L’ONU a réclamé au gouvernement d’Ouzbékistan une enquête urgente concernant les violences politiques, les tortures et la stérilisation forcée employées à l’égard de la militante des droits de l’homme, dont elle a été victime durant son incarcération, et qui ont entraîné des dégâts irréparables sur sa santé.

L’Association Internationale de Défense des Droits de l’Homme «Club des Cœurs Ardents» fut établie lors de la réunion du 4 octobre 2010 et enregistrée officiellement le 3 février 2011 par l’administration française.

L’association est enregistrée sous son nom officiel Association Internationale de Défense des Droits de l’Homme «Club des Cœurs Ardents» et sous le numéro W751208462. L’enregistrement officiel de notre organisation portant le № 1380 était annoncé le 19 février 2011  dans le «Journal Officiel de la République Française Lois et Décrets» publiant les listes des organisations non gouvernementales.

Les principaux objectifs et missions de l’Association Internationale de Défense des Droits de l’Homme «Club des Cœurs Ardents» sont la lutte contre le crime organisé contre l’humanité, contre les REGIMES DICTATORIAUX (les répressions politiques, les tortures, les jugements abusifs et injustes); la lutte contre le soutien, le financement et la propagande du TERRORISME, du DJIHADISME RADICAL, de l’EXTREMISME RELIGIEUX et du NARCOTRAFIC (les stupéfiants saisis sont souvent revendus par les fonctionnaires corrompus des organes gouvernementaux); la lutte contre tout phénomène de TRAFIC HUMAIN (l’esclavage sexuel, les maisons closes à prostituées, le proxénétisme et la «couverture» de ces trafics); la lutte contre tout type de CORRUPTION, de BLANCHIMENT D’ARGENT et de «CRIMES COUVERTS», contre tout le mal qui trouble l’existence calme et pacifique de la société.

Enregistrée légalement en France, l’Association Internationale de Défense des Droits de l’Homme «Club des Cœurs Ardents» considère les missions et les obligations mentionnées ci-dessus comme ses priorités et continue encore aujourd’hui la lutte contre ces crimes.

Mutabar Tadjibayeva est une défenseuse de droits de l’homme respectable et reconnue dans le monde entier…

En 2005, l’organisation publique «Peace Women Across the Globe», qui réunit des milliers de femmes activistes de la paix et propose leurs candidatures pour le Prix Nobel de la Paix, a également inclus dans sa liste le nom de Mutabar Tadjibayeva, fondatrice et shef du «Club des Cœurs Ardents».

Le 15 mai 2008, alors que M. Tadjibayeva était encore en prison, la fondation Martin Ennals a annoncé qu’elle allait recevoir le prix Martin Ennals «pour la contribution considérable dans le développement de la défense des droits de l’Homme, pour avoir fait preuve de fermeté dans des situations extrêmes et pour le courage dans sa lutte contre la violation des droits de l’Homme dans son pays».

Le même jour, les blogueurs écrivant sur le sujet des droits de l’homme, ont annoncé la liste des dix femmes qui ont joué un rôle important dans la protection des droits de l’homme. Le nom de Mutabar Tadjibayeva figurait aussi dans cette liste. Le 2 juin 2008, elle a été libérée pour cause de dégradation de sa santé.

Lors de sa visite en Ouzbékistan les 28 et 29 juillet 2008, le secrétaire d’Etat français aux Affaires européennes rattaché au Ministère des Affaires étrangères, Jean-Pierre Jouyet avait rencontré personnellement Mutabar Tadjibayeva.

Jean-Pierre Jouyet – Mutabar Tadjibayeva

Monsieur Jouyet avait promis de faire tout son possible afin que Madame Tadjibayeva puisse recevoir les soins médicaux nécessaires et être présente à la cérémonie de remise du Prix Martin Ennals pour les défenseurs des droits de l’Homme qu’elle devait recevoir le 20 novembre 2008 à Genève.

Elle est allée en Europe afin de recevoir le Prix Martin Ennals pour les défenseurs des droits de l’Homme et rétablir sa santé dégradée durant son incarcération.

Après sa libération, Tadjibayeva a été auscultée par des médecins à Berlin et opérée à Genève pour les séquelles causées par la stérilisation forcée et illégale subie en prison ouzbèk. Au cours de cette opération illégale, la plaie opératoire n’avait pas été recousue entièrement laissant une ouverture de 4 cm qui avait causé les complications médicales considérables nécessitant une opération urgente à Genève.

Le 17 novembre 2008, Mutabar Tadjibayeva avait été reçue au Ministère des Affaires étrangères à Paris. Elle avait rencontré le ministre des affaires étrangères et européennes Bernard Kouchner et la secrétaire d’État chargée des droits de l’homme Madame Rama Yade.

Au cours de cette rencontre, Monsieur Bernard Kouchner avait déclaré que la France était prête à accueillir Tadjibayeva et sa famille et à leur garantir un asile politique. Il avait ajouté que si Tadjibayeva s’installe en France, elle aura la possibilité de bénéficier des soins médicaux qualifiés et d’un soutien afin de poursuivre sa lutte contre la violation des lois.

Lors de cette rencontre, Monsieur Bernard Kouchner avait annoncé que Mutabar Tadjibayeva était lauréate du Prix français «Liberté, Égalité, Fraternité» attribué par la commission nationale consultative des droits de l’Homme.

Ce prix est décerné aux personnes ayant atteint des résultats considérables et ayant fait preuve d’héroïsme dans la lutte pour les droits de l’homme, quels que soient leur pays et leur nationalité. Le Sénat français détermine les candidats pour ce Prix.

Le 10 décembre 2008, lors du 60ème anniversaire de la «Déclaration universelle des droits de l’homme», l’organisation «Club des Cœurs Ardents» a été récompensée par ce prix français de défense des droits de l’Homme «Liberté, Égalité, Fraternité», pour «la lutte courageuse et la bravoure sur la voie vers la réduction de la violence et vers le rétablissement de la justice dans des conditions particulièrement difficiles et complexes». Ce prix a été remis à la fondatrice et la directrice de l’organisation, Mutabar Tadjibayeva.

D’octobre à décembre elle était en Europe avant de rentrer à Tachkent où elle avait subi une nouvelle campagne de diffamation. Elle a alors demandé l’asile politique en France où elle vit depuis 2009.

Le 20 novembre, à Genève, a eu lieu la cérémonie de remise du prix Martin Ennals. Ce prix a été remis par Kang Kyung-wha, la Vice-Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme.

Le 11 mars 2009, Mutabar a reçu le prix du département d’État américain «Femme de Courage», attribué aux femmes les plus courageuses, les plus visionnaires et audacieuses du monde pour leur contribution dans la défense des droits de l’homme et dans le progrès du mouvement féministe.

Tadjibayeva a reçu cette récompense pour «la défense des valeurs des droits de l’homme et de la démocratie en Ouzbékistan et pour la propagation des idées de la justice sociale, de la loi suprême, ainsi que pour le leadership dans la lutte pour ces idées, pour le courage dans l’exigence et la protection de la responsabilité des organes gouvernementaux, pour la loyauté à ses idéaux, pour la résistance et l’audace, pour la lutte dans des conditions dangereuses pour la vie.»

A Washington, ce prix a été remis à M. Tadjibayeva par la secrétaire d’Etat des Etats-Unis d’Amérique Hillary Clinton et Michèle Obama.

Ce prix est décerné pour les femmes plus courageuses, audacieuses et fidèles à leurs principes pour leur contribution à la défense des droits de l’Homme et au progrès du mouvement féministe.

Le régime dictatorial de Karimov avait mis en place en Ouzbékistan une terreur aux niveaux les plus élevés contre Tadjibayeva.

Comme le rapporte «WikiLeaks», le président ouzbèk Islam Karimov a exprimé son mécontentement concernant la décision des Etats-Unis à remettre le prix à Tadjibayeva. «WikiLeaks» rapporte que Karimov «semblait particulièrement contrarié par le fait que Tadjibayeva pourrait devenir son opposante politique et le défier.»

En 2011, en signe de protestation contre la remise de ce même prix à la Présidente du gouvernement provisoire du Kirghizistan Rosa Otounbayeva, Tadjibayeva a officiellement déclaré son refus de ce prix.

En août 2011, Mutabar Tadjibayeva a obtenu le titre de la «Femme Influente en Asie Centrale».

Depuis 2013, l’Association Internationale de Défense des Droits de l’Homme «Club des Cœurs Ardents» est membre de FIDH (Fédération Internationale des ligues des Droits de l’Homme).

Le 3 mai 2014, l’Organisation Internationale pour la défense de la liberté de la presse «Reporters sans frontières» a publié la liste des «100 héroïnes d’information» qui mettent en péril leur sécurité personnelle, voire leur vie, pour les idéaux professionnels. Madame Mutabar Tadjibayeva fait partie de cette liste.

Dans le communiqué de presse de l’organisation «Reporters sans frontières», on peut lire: «Mutabar Tadjibayeva est une journaliste ouzbèk indépendante, initiatrice du mouvement populaire «Société Civile». En 2005, elle a été condamnée pour 8 ans de prison ferme pour avoir critiqué le gouvernement ouzbèk à l’origine des violences contre les participants de la manifestation pacifique à Andidjan».

La fondation ACAT France, une ONG contre la torture et la peine de mort a inscrit Mutabar Tadjibayeva dans la liste des 40 personnes qui luttent activement contre les tortures dans le monde. ACAT-France existe à Paris depuis 1974 et pour son 40ème anniversaire, le prix international «Engel-du Tertre» a été décerné à la militante pour les droits de l’Homme Mutabar Tadjibayeva et son Association Internationale de Défense des Droits de l’Homme «Club des Cœurs Ardents».

Le 15 novembre 2014 à Paris, à la cérémonie de remise du prix «Engel-du Tertre», Mutabar Tadjibayeva et son organisation «Club des Cœurs Ardents» ont été récompensées en signe de reconnaissance de son travail dans la sphère de la lutte contre les tortures en Ouzbékistan ainsi que de sa lutte acharnée depuis 20 ans contre les violations des droits de l’Homme en Ouzbékistan.

Moutabar Tadjibayeva est précisément une telle femme, une telle personnalité!

JALOUSIE, CYBERBULLYING,  CORRUPTION, BLANCHIMENT D’ARGENT…

 Mais certaines personnes se croient «au-dessus» de tous les faits présentés ci-dessus, de tous les prix et récompenses, de toutes les organisations internationales reconnues qui récompensaient Tadjibayeva. Et depuis 2010, dans la France libre et démocratique, une campagne de diffamation a démarré sous forme d’insultes, de menaces, de mensonges de la part des «défenseurs des droits de l’homme hybrides», avec en chef de file Nadejda Atayeva, qui présente pour examen aux organisations internationales d’autorité des MENSONGES…

Nous devons reconnaître que, lorsque Mutabar était en prison, Nadejda Atayeva avait participé à sa libération du camp de concentration de Karimov et l’avait soutenue après sa remise en liberté. Plus tard, après l’opération que Mutabar avait subie à Genève, Atayeva l’a accueillie à son domicile et l’avait hébergée pendant plus de 10 jours jusqu’à la fin de l’année 2008.

Malheureusement, il y a une énorme différence entre l’aide qu’on apporte de bon cœur et l’aide apportée par intérêt pour atteindre ses propres objectifs…

Le soutien qu’avait apporté Atayeva ne lui donne pas le droit d’insulter, de faire du chantage et d’utiliser les gens dans ses intrigues criminelles !

Atayeva n’avait pas pris en compte le fait que la personne qu’elle avait aidée n’était pas obligée de répondre à toutes ses exigences, encore moins lorsque ces exigences étaient illégales et criminelles. Très vite Mutabar avait compris qu’Atayeva voulait en faire une marionnette obéissante en échange de son aide.

Mutabar n’aurait jamais agi à l’encontre de ses principes, contre l’honnêteté et la justice qu’elle défendait toute sa vie.

Atayeva réclamait que Tadjibayeva participe dans ses campagnes punitives contre d’autres défenseurs des droits de l’Homme tels que Vitali Panamorev (Directeur des programmes centrasiatiques de défense des droits de l’Homme du centre «Mémorial»), Denis Djivaga (directeur adjoint du bureau des droits de l’homme du Kazakhstan), le Fond de la justice écologique (EJF). Tadjibayeva a très vite compris qu’Atayeva souhaitait utiliser la célébrité de Tadjibayeva pour les besoins de ses machinations financières et pour les campagnes de diffamation contre les autres militants.

A partir de 2002 et jusqu’à sa libération, Mutabar était poursuivie, torturée par les représentants des structures de force du régime dictatorial. Depuis 2010 et aujourd’hui encore, les «défenseurs des droits de l’homme» du groupe d’Atayeva, Ismat Khouchev, citoyen canadien et espion qui a avoué avoir publié des matériaux diffamatoires contre Mutabar sur les ordres des services spéciaux d’Ouzbékistan, ainsi que les opposants, – les radicaux islamistes tels que Salaï Madaminov, lancent sans cesse des campagnes calomnieuses en réalisant des films, en publiant des matériaux et en faisant du chantage, et bafouent ainsi les droits de Mutabar Tadjibayeva, ses droits fondamentaux inscrits dans la «Déclaration des défenseurs des droits de l’Homme» et dans la «Convention relative aux droits des personnes handicapées».

Mutabar Tadjibayeva possède suffisamment de connaissances et d’expérience dans les enquêtes journalistiques et l’évaluation des situations. Elle a ainsi rapidement compris le plan d’Atayeva et le 6 janvier 2010, elle a informé par écrit Atayeva de son refus de collaborer avec elle. Elle était soutenue dans cette décision par le psychologue Juan Boggino et se souvient très bien de ce moment. Car à partir de ce moment, l’attaque diffamatoire s’est largement amplifiée par la multiplication de menaces, de chantage et de calomnies à l’égard de Mutabar Tadjibayeva.

Le fondateur et le vice-président de l’association des «droits de l’Homme» en Asie centrale, parallèlement dirigeant de l’organisation de «défense des droits de l’Homme» «Plateforme» et coordinateur de l’organisation de «défense des droits de l’Homme» «Pétition» créée pour blanchir l’argent, Yodgor Obid, continue d’insulter, de diffamer Mutabar Tadjibayeva et les activistes qui mènent la lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent internationaux.

Selon nos sources et les preuves dont nous disposons, Yodgor Obid participe depuis plusieurs années dans les escroqueries financières d’Atayeva.

Mutabar Tadjibayeva a une formation de comptable économiste et elle travaillait en tant qu’économiste dans une banque. Elle sait avec quel objectif sont créées plusieurs organisations pratiquant le même type d’activité. En général, le but de telles entreprises est de blanchir l’argent.

Lorsqu’Atayeva a porté plainte contre Mutabar Tadjibayeva, cette insolence cynique nous a incités à l’organisation d’une coalition en faveur de Mutabar Tadjibayeva en premier lieu, et à terme, pour la lutte pour la vérité dans le mouvement de défense des droits de l’Homme.

Ms. Tadjibayeva monitors on an ongoing basis human rights and publishes through various media outlets worldwide investigations about breaches of human rights especially in Central Asia. She participates in investigative actions and judicial trials as a defense counsel and is appointed frequently as authorized representative on behalf of human rights victims.

Mutabar has also actively denounce some malpractices in her own field of human rights notably the misuse of funds and the creation of fake witnesses by unprofessional associations.

The legal issue started with a letter dated as of December the 11th of 2017 by which Nadejda Atayeva informed Ms. Tadjibayeva, through her lawyer Kojevnikov, to remove 7 articles and 1 video from her blog www.mutabar.org on the ground that they would be defamatory. These articles show evidence that the witness created notably for the case of the slaughter of Andijan of 2005 in Uzbekistan is probably fake.

Ms. Tadjibayeva answered that she considered those articles to not be defamatory and to be actually disclosing objective information, on which Mrs. Atayeva has been refusing to answer for many years.

Further that Ms. Tadjibayeva refused to remove these articles, Mrs. Atayeva started a lawsuit under the form of “Citation Directe” in French law together with her past lawyer Kojevnikov on the grounds of defamation and insults.

A ce jour nous disposons d’une immense quantité de preuves et de documents témoignant de la campagne de diffamation menée contre Mutabar Tadjibayeva ainsi que des escroqueries et des falsifications du groupe criminel des «défenseurs des droits de l’homme hybrides». En nous appuyant sur ces documents, nous devons faire une demande reconventionnelle contre Madame Atayeva et contre le groupe d’individus de son «équipe» ayant participé à la campagne de diffamation et de menaces.

C’est pour cette raison que lorsque la Coalition de défense de Mutabar Tadjibayeva a été créée, Yodgor Obid a commencé à insulter publiquement sur les réseaux sociaux ses membres, des activistes honnêtes et reconnus, en nous qualifiant d’escrocs et d’aventuriers.

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