Num\Spesial! Article N°3. Les légendes de l’«anatomopathologiste» Oumid Abdounazarov et du psychologue «médecin expert judiciaire» Nigyar Ahmedbekova: mêmes mensonges et hypocrisie!! 

26 JUIN – LA JOURNÉE INTERNATIONALE POUR
LE SOUTIEN AUX VICTIMES DE LA TORTURE 

Malheureusement, la légende de l’«anatomopathologiste» n’est pas un cas isolé dans la carrière de Nadejda Atayeva. Ce n’est pas la première fois qu’elle ment et induit en erreur la Communauté internationale.

Par son acte (plus qu’un acte, il s’agit ici d’un crime), elle a insulté la mémoire des victimes du massacre d’Andidjan et de toutes les victimes du régime de Karimov.

Est-ce éthique? Cela n’est pas une question pour moi car ma conscience et mon éducation ne me permettent pas de qualifier cet acte d’éthique (sans compter qu’il s’agit en réalité d’un crime), et je connais l’opinion de mes collègues ainsi que celle des simples personnes concernées, entre autres des lecteurs des sources d’information relatant la situation actuelle des Droits de l’Homme en Asie Centrale.

Dernièrement, une histoire importante a bénéficié d’une résonnance dans les médias concernant le rapport d’expertise médicale d’une victime de tortures, entrepreneur de Boukhara, Ikhlom Ibodov, établi par la psychologue Nigyar Ahmedbekova, employée de l’organisation «CENLIBART» fondée par Atayeva. Nadejda Atayeva et les représentants de plusieurs organisations internationales se sont cyniquement moqués de la famille d’Ibodov en diffusant une information mensongère sur les conclusions de ce rapport d’expertise médicale judicaire.

 

Des médecins experts judiciaires de renommée ont apporté une explication professionnelle des conclusions de ce «médecin expert judiciaire» en désignant ce rapport par un terme court et concis: UN CRIME.

Après avoir étudié le rapport d’expertise médicale judiciaire de la psychologue Nigyar Ahmedbekova, le médecin français Jonas Besson et d’autres médecins experts judiciaires de niveau international, se déclarent prêts à témoigner sous serment au Tribunal et à prouver que la formulation de telles malheureuses «conclusions» n’est rien d’autre qu’un CRIME de la part d’une personne ayant prêté le serment d’Hippocrate.

L’ancien professeur de la chaire de la médecine judiciaire dans l’Académie de médecine de Tachkent a affirmé que pour devenir un médecin expert judiciaire qui analyse les cadavres présentant les traces d’une mort violente, il est nécessaire d’obtenir le diplôme d’une faculté de médecine, le compléter par un internat d’un an et passer un examen supplémentaire.

PARTICIPATION DES MEMBRES DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES
AUX ESCROQUERIES ET CORRUPTIONS D’ATAYEVA!

Malheureusement des organisations internationales de renommée mondiale avaient pris part et continuent de participer aux jeux vicieux d’Atayeva, des organisations telles que «Human Rights Watch» (Steve Swerdlow), «International Partnership for Human Rights» en Belgique (Brigitte Dufour), Fédération internationale Helsinki pour les Droits de l’Homme» à Oslo (Ivar Dale) et la fondation Soros (Alisher Ilkhamov) et «Freedom House» aux Etats-Unis.

Les représentants de ces organisations internationales et des fonds ont aidé Atayeva à «installer de force» ce rapport d’«expertise médicale judiciaire» mensonger et illégal afin de blanchir de l’argent en usurpant l’histoire tragique de la famille Ibodov!

Ils ont publié une déclaration commune concernant ces conclusions médicales judiciaires mensongères d’une psychologue, ancienne employée du Ministère de l’Intérieur d’Azerbaïdjan, Nigyar Ahmedbekova.

Dans nos échanges écrits avec Steve Swerdlow précédant cette déclaration publique (le 2 novembre 2016), je lui avais expliqué que les conclusions du «médecin expert judicaire» d’une organisation suspecte et secrète CENLIBART sont ILLEGALES!

Après ces échanges, et en tant que juriste de niveau international, Steve Swerdlow devait savoir qu’un psychologue ne peut en aucun cas réaliser une expertise médicale judiciaire.

Malgré mon avertissement, le 28 novembre, Steve Swerdlow (Human Rights Watch), Brigitte Dufour (International Partnership for Human Rights), Ivar Dale (Fédération internationale Helsinki pour les Droits de l’Homme) ainsi que «Freedom House» et Nadejda Atayeva ont publié ensemble une déclaration «en faveur» des victimes des tortures et en faveur du rapport d’expertise médicale judiciaire de la psychologue Nigyar Ahmedbekova.

En été 2016, par le biais de ces organisations internationales et de ces fondations, Atayeva a reçu une aide financière d’un montant de 3000 dollars pour la famille d’Ibodov et a «malencontreusement oublié» de leur envoyer cet argent.

Alors même qu’ils avaient besoin de payer les services d’un avocat pour obtenir des documents importants concernant l’affaire criminelle contre «lakhmatchi», les membres de la famille d’Ibodov n’en avaient pas la possibilité financière, car ils se trouvaient dans une situation financière très difficile.

J’ai dû récupérer cet argent sur ma modeste pension d’invalidité et l’envoyer à la mère d’Ibodov afin qu’elle puisse engager un avocat. J’ai envoyé ce soutien financier en décembre 2016 tandis qu’Atayeva était en possession des 3000 dollars destinés à la famille d’Ibodov.

Afin que la famille d’Ibodov ne révèle pas le mensonge, l’escroquerie et l’hypocrisie de l’entourage criminel de Nadejda Atayeva, cette dernière a envoyé en urgence le 16 juin 2017 l’aide financière à la mère de l’homme d’affaire décédé Ikhlom Ibodov (précisément le jour où les inspecteurs venaient rencontrer Steve Swerdlow). En urgence Atayeva s’est mise à dissimuler les traces et à masquer ses crimes financiers. A la question où sont passés les 1800 dollars restants, Steve Swerdlow pourrait répondre sûrement en qualité de protecteur des crimes financiers d’Atayeva et de son entourage criminel.

Nous avons été informés du fait qu’en août 2017, Atayeva et ses collègues ont assigné d’abord la somme de 1500 dollars envoyés à la famille d’Ibodov au début du mois, puis la somme de 1100 dollars envoyés au milieu du mois.

Cette histoire devrait servir d’exemple à Steve Swerdlow et aux autres représentants d’organisations internationales et des fondations qu’Atayeva utilise non seulement pour blanchir l’argent mais aussi pour ses campagnes de diffamation dirigées contre des militants de la société civile d’Ouzbékistan. Malheureusement, Steve Swerdlow et les autres continuent d’être des jouets entre les mains des corrompus.

Malheureusement pour les visites aux prisonniers politiques on trouve très peu de financements qui sont toujours insuffisants. Les familles des prisonniers politiques tels que Ganikhon Mamatkhanov, Gaïboulla Jalilov et les autres ne peuvent obtenir de financement pour rendre des visites et pour payer les services des avocats.

Cependant, pour couvrir les crimes d’Atayeva ces fondations mobilisent autant d’argent qu’il faut. Ces faits prouvent encore qu’Atayeva et son entourage sont prêts à tout pour de l’argent, ce qui devient ridicule.

AUTREFOIS, POUR LUTTER CONTRE LES DEFENSEURS DES DROITS
DE L’HOMME ET LES JOURNALISTES, LE REGIME DICTATORIAL
EMPLOYAIT DES FEMMES LEGERES, ET AUJOURD’HUI?!…

Actuellement, dans l’entourage de Nadejda Atayeva, d’Alisher Ilkhamov et Steve Swerdlow il y a des femmes qui s’attaquent sur leurs ordres à n’importe qui. Elles ont déjà commencé leurs attaques en insultant publiquement des défenseurs des droits de l’homme célèbres tels qu’Elena Ourlayeva, Mutabar Tadjibayeva, Galima Boukharbayeva et Goulbakhor Tourayeva en leur faisant du chantage et outrage.

La société doit connaître toute la vérité sur ces femmes: Niguyar Akhmedbekova originaire d’Azerbaïdjan et Chabnam Khouïdodova de Tadjikistan!

Qui sont-elles?

Pourquoi se mêlent-elles des affaires d’Ouzbékistan?

Qui leur a donné le droit de s’ingérer dans l’activité des militants de la société civile d’Ouzbékistan et évaluer leur activité?

Pourquoi Steve Swerdlow et Alisher Ilkhamov, étant des amis proches de Khouïdodova et Ahmedbekova, ne réclament-ils pas l’arrêt définitif de ces insultes, chantage et menaces à l’égard des principaux défenseurs des droits de l’homme et journalistes d’Ouzbékistan, en exprimant ainsi leur impartialité par rapport aux insultes et menaces de ces femmes?

Ou alors, peut-être ces « mesdames » expriment et rendent publique l’opinion de Swerdlow et d’Ilkhamov au sujet des célèbres et respectables défenseurs des droits de l’homme?

Mutabar Tadjibayeva
Défenseuse des droits de l’homme,
Dirigeante de l’Association Internationale
de défense des droits de l’homme
«Club des Cœurs Ardent»
Journaliste indépendante

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