«Ma grand-mère a été victime de la répression stalinienne, comme une ennemie de la nation. Maintenant, en Ouzbékistan, le gouvernement me considère comme une ennemie du peuple. Du temps de Staline, c’était ma grand-mère et maintenant c’est mon tour», s’en amuse presque Mutabar Tadjibayeva.
28.02.2009 кунлик архив
TACHKENT EXPRESS – Article paru dans le magazine Amnesty, publié par la section Suisse d’Amnesty International, février 2009
Sur fond de dictature au fort relent soviétique, l’Ouzbèke Mutabar Tadjibayeva a réussi à s’extraire des prisons de Tachkent pour recevoir le prix Martin Ennals des défenseurs des droits humains à Genève.