30.05.2013 кунлик архив
La princesse ouzbèke et le dictateur
Asie centrale. Chanteuse, styliste, femme d’affaires… Gulnara Karimova lorgne sur le trône de son père.
Elle prend une pose inspirée. Ferme les yeux, dodeline de la tête, laisse la caméra filmer en gros plan ses lèvres charnues et brillantes. Et puis elle entonne sa dernière chanson, baptisée « Le ciel se tait ». Des paroles vides de sens. »Le jour s’achève mais le soleil se lèvera… Tout ça c’est le destin. »